Sultan, Ali Abbas Zafar (2016)

Bande annonce

Durée du film : 2h50

Genre / Origine : Bollywood

Acteurs

Salman Khan : Sultan Ali Khan
Anushka Sharma : Aarfa

Synopsis

Sultan retrace le parcours d’un lutteur sur le déclin décidé à se battre pour retrouver sa vie, son amour et son honneur. Au delà-du ring, c’est contre lui-même qu’il mènera son plus grand combat.

Allociné

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Mon avis

6 / 10

  • Pourquoi ? Décors et costumes traditionnel très beaux et bonne deuxième partie mais première partie beaucoup moins bien

Sultan, jeune villageois et reconnu pour son habilité à chasser les cerfs-volants, tombe amoureux d’une jeune lutteuse au caractère bien trempé. Celui-ci, un peu maladroit pour courtiser sa belle, se fait rejeter de nombreuses fois, et là où beaucoup aurais arrêter d’essayer, Sultan continue de suivre la jeune Aarfa afin qu’elle soit sienne. Pour cela, il va se lancer lui aussi dans la lutte après que celle-ci lui ai dit qu’elle ne se marierais qu’avec un lutteur. Sultan va devenir en très peu de temps l’un des plus grands lutteur d’Inde, va se marier avec Aarfa qui très vite, va attendre un bébé. Sultan devient alors trop avide de succès et d’attention et en donne moins à sa femme qui a tout quitté pour avoir une vie de famille. Le jour de la naissance de son fils, Sultan n’est pas là. Malheureusement, Aarfa va perdre son enfant qui n’avait pas assez de sang, et, celui-ci étant rare, n’en aura pas reçu. Aarfa ne voudra alors plus jamais voir Sultan qui avait le sang en question dans son corps mais n’était pas là à temps. Sultan, dévasté, va arrêter la lutte et rester dans sa dépression pendant quelques années jusqu’à qu’un homme vienne à lui pour lui demander de reprendre la lutte. Sultan accepte dans l’espoir d’obtenir assez d’argent pour créer la banque de sang dont il rêve et trime pour depuis toutes ces années. Mais Sultan ayant la quarantaine et la bedaine, ne s’attendais pas être face à de tels adversaires et va devoir se refaire un entraînement intensif avec les plus grands.

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Une première partie bof et une deuxième partie qui remonte la note d’un cran. 🙂 Au début du film, j’ai bien aimé le côté Inde traditionnel avec de très beaux décors des maisons des habitants d’une petite ville, tout comme les costumes traditionnels eux aussi magnifiques. Les tuks-tuks, les balcons sur les toits, les cerf-volants… J’ai été immergé dans cet univers qui m’est bien familier et qui m’enchante particulièrement. Néanmoins arrive le personnage de Aarfa qui ne m’ avaient pas bien plu au début, je la trouvais bien trop arrogante et je ne comprenais pas l’attachement de Sultan pour celle-ci alors qu’elle lui lançait des insultes à longueur de journées. De plus les premières musiques bien que très belles visuellement  ne m’ont pas du tout plu à l’écoute, bien trop occidentalisés et trop de sons électronique, non quoi ! On a l’exemple avec la musique Baby Ko Bass Pasand Hai où les décors sont très beaux visuellement mais ne me parlez pas de l’air de la musique….ou encore 440 Volt où là c’est le contraire, les décors et costumes sont bien trop occidentalisés avec des artifices de partout mais la musique est elle plus traditionnelle.

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Bref un début qui ne m’a pas époustouflée d’autant plus que je n’ai pas du tout aimé le fait que Sultan se voit obligé de changer la personne qu’il est pour être avec Aarfa,  quelque chose que je ne soutient pas du tout au quotidien. ^^ On aime une personne pour ce qu’elle est et pas pour ce qu’elle peut devenir voyons ! x) Sultan, au fur et à mesure, mais cette fois ci c’est fait exprès, devient lui aussi agaçant, trop avide de son succès et ne pensant qu’à ça. Puis vient la seconde partie où l’on retrouve un Sultan dépité, très touchant cette fois-ci puisqu’il paraît sincèrement désolé de ce qui c’est passé, mort de l’intérieur. Il m’a d’ailleurs fait beaucoup de peine, Aafa ne voulant pas lui adresser la parole pour l’enfant qu’il a « tué » par son absence.

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Il décide alors de se remettre à la lutte, mais la lutte indienne d’il y a quelques années et la lutte internationale, ce n’est pas le même sport. Celle-ci est plus violente, plus technique et Sultan va alors devoir tout reprendre à zéro. Une scène alors déchirante suit où Sultan, après s’être fait insulter de mort vivant, se retrouve devant son miroir, voit le résultat physique de toutes ces années de noirceurs et se met à pleurer. Après de nombreuses scènes d’entraînement intensifs où Sultan joue la Kill Bill à monter les escaliers avec des poids lourd sur les épaules, arrive les fameux combats de boxe avec des adversaires aussi effrayants que forts. On peut voir que le film est bon lorsque l’on stress pour Sultan, pauvre père de 40 ans face à de jeune et vifs lutteurs.

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Les combats ne sont pas coupés ce qui apporte le stress et le suspens de ceux-ci. Et Sultan gagne étonnamment. Il continue à gagner et par le même coup, très lentement, regagner le cœur de sa femme qui par le  biais de la télévision, se voir forcer d’admettre que son mari est vraiment motivé à gagner de l’argent pour s’excuser, pour lui montrer à quel point il se sent coupable. Elle arrive enfin à lui après un combat acharné qui se finit pour Sultan par une cage thoracique brisée. Sultan est amené à l’hôpital mais il veut finir et faire son dernier combat malgré le déconseil de son médecin qui lui dit qu’il va à sa perte. Se suit un combat douloureux , difficile à regarder où l’ennemi sans pitié s’amuse à taper Sultan dans sa cage thoracique encore en cours de guérison. Je me sentais alors malade, je ressentais la douleur de Sultan mais aussi sa force d’esprit. Malgré le fait qu’il est à terre et en très piteux état, il continue. Et il gagne !

Et malgré le fait que auparavant, je vous ai parlé de musique pas terrible, il y en a quand même de très belles qui berce l’histoire de Sultan comme Bulleya qui raconte la rupture difficile de Aafa et Sultan, Sultan musique éponyme qui raconte l’évolution physique et les combats de Sultan et enfin Jag Ghoomeya où Sultan chante les louanges de sa femme.

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Un bon film donc qui arrive avec un résultat final moyen à cause de la première partie qui est beaucoup moins bien que la deuxième. Un film très sympathique néanmoins.

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Et vous, l’avez vous vu ? Qu’en avez vous pensé ?  Quelle note mettriez vous ?

Dites moi cela dans les commentaires 🙂

Prochain : Baabul ! 🙂

7 réflexions sur « Sultan, Ali Abbas Zafar (2016) »

  1. Juste une correction, dans la deuxième partie du film ce n’est plus de la lutte (la lutte moderne n’est différente que par les tenues des lutteurs et les tapis à la place de l’arène). C’est un genre de free fight, chacun venant avec sa technique, un peu comme dans certains films d’arts martiaux. C’est beaucoup plus violent et beaucoup moins encadré.
    Sinon le film se laissait regardé. De l’action, des bons sentiments, pas excellent, mais pas mauvais.

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    1. BollywoodFrenchLarki 23 août 2017 — 13 01 05 08058

      Oui ils parlent de lutte mais ça ressemble plus à de la boxe c’est vrai x) Je pense pareil : bien mais pas excellent 😉 Merci pour la rectification 😉 🙂

      Aimé par 1 personne

  2. En tout cas les photos que tu trouves pour mettre en page d’accueil pètent toujours autant !!!

    Aimé par 1 personne

    1. BollywoodFrenchLarki 24 août 2017 — 13 01 32 08328

      Merci c’est trop gentil 😀

      J’aime

  3. il ne m’a jamais tenter ce film
    xoxo

    Aimé par 1 personne

    1. BollywoodFrenchLarki 27 août 2017 — 16 04 07 08078

      Oui il es bien mais pas excellent non plus 😉 🙂

      Aimé par 1 personne

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